Gironde : 5 USLD

A tous le personnel de Paul Ardoin , je tiens a vous remercié , ainsi que toute ma famille pour notre Maman Duvergé Valentine , pour votre aide , écoute et gentillesse et surtout de nous l'avoir gardée jusqu'à ses obsèques , a recommander , Merci a vous tous .

Merci pour avoir financé la clôture pour empêcher le voisinage de venir abuser des nombreuses possibilités de parking quand tout est plein dans l ecoquartier. Belle leçon de solidarité.

J'ai appelé 3 fois pour prendre des nouvelles de ma mère on me demande d'envoyer un mail Je trouve ça inadmissible

Probablement l’un pires endroits, si ce ne l’est LE, où j’ai pu travailler en 7 ans de diplôme IDE. Je n’ai pas d’autre terme pour désigner cet endroit que de « mouroir ». Les patients sont laissés à l’abandon par l’équipe soignante, soit dans leur chambre, soit dans le couloir. Pas ou peu d’activités cognitives proposées pour palier à cela. Ayant travaillé là-bas, en vacation, je ne saurais dire combien de fois j’ai mis mon diplôme en danger. Rien que sur un point, somme toute crucial dans notre métier, la préparation des traitements. Je suis censé normalement distribuer les traitements en face du patient ou de sa chambre, avec vérification de l’identité et validation en direct après la prise des dits traitements. Or, l’IDE du matin que j’ai relevée m’a spécifié de préparer les traitements à l’avance car sur 40 patients, plus de la moitié nécessite une prise des traitements écrasés. En précisant que si je ne faisais pas cela, je finirais en retard et que de toute manière j’aurai les AS pour m’aider dans la tâche (identification des patients). C’est donc contre mon gré que je décide de faire comme ça et le moment de distribution venu, les AS, qui jusqu’ici n’avaient passé l’après midi qu’à parler et fumer, sont introuvables dans le service, celui-ci séparés en deux couloirs. Je me retrouve donc pour plusieurs patients à devoir attendre de donner les traitements car ils ne sont pas dans leur chambre, et les patients dans le couloir ont pour beaucoup des troubles cognitifs avancés et un bracelet d’identification absent, ceux-ci n’ayant pas été remit par l’équipe soignante. Il y a tant à dire encore mais je terminerai sur le fait que la structure est sale, vieillissante, non entretenue et ce autant d’extérieur que d’intérieur. Les chambres font peines à voir avec un éclairage faible et une surface plus que réduite. Tant sur le plan professionnel que sur le plan familial, je ne peux que déconseiller de travailler ici ou d’y faire résider un proche.

Établissement géré par la sécurité sociale, non lucratif un projet de déménagement est en courS. En attendant, une salle de douche pour 20 personnes dépendantes c'est peu. Mais comme souvent le personnel fait au mieux pour compenser les conditions hôtelières insuffisantes, cet établissement comme beaucoup d'autres dans le public hospitalier ayant souffert de sous investissement contraint par les autorités tarifaires, donc la faute aux gouvernements qui se suivent depuis plus de 20 ans et malheureusement pour eux les handicapés de plus de 80 ans ne peuvent se rendre avec un gilet jaune sur des giratoireS.